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QuandDieu ferme une porte, il peut vous laisser dans le noir pendant un temps jusquâĂ ce quâil vous parle dans le tourbillon. Il est Ă©galement possible que Dieu nous laisse, pour un temps, dans une piĂšce dont la porte est fortement fermĂ©e â sans le rafraĂźchissement dâune fenĂȘtre ouverte. « Quand Dieu ferme une porte, il ouvre
SynopsisLe jour du bac, Rose dĂ©couvre sa mĂšre battue Ă mort par son pĂšre. ProfondĂ©ment traumatisĂ©e, elle ne reprend goĂ»t Ă la vie que grĂące Ă Patch, un petit chien qui ne la quitte jamais, et Ă lâapprentissage de la annĂ©es plus tard, la jeune femme emmĂ©nage au numĂ©ro huit de la rue au bois, dans un immeuble tranquille dâune banlieue de lâOuest parisien. Câest dans cette ancienne maison bourgeoise que vivent Francine et Michel, Jean, Victor, Elsa et Jules, ses nouveaux voisins qui se connaissent tous, sâapprĂ©cient et se rendent service. Mais Rose sait mieux que quiconque que lorsque les portes se referment, les pires secrets peuvent surgir. Et si lâun dâeux Ă©tait en danger, serait-elle capable dâaffronter de nouveau ses peurs pour le sauver ?Rose se lie dâamitiĂ© avec Jean, le vieux monsieur du rez-de-chaussĂ©e. Patient et attentif, il devient une figure paternelle Ă qui elle peut confier son passĂ©. AccompagnĂ©s de Patch, ils parcourent la ville ensemble pour prendre la photo parfaite. Au premier Ă©tage, Francine et Michel, jeunes retraitĂ©s qui nâont pas pu avoir dâenfant, se sont pris dâaffection pour Jules, neuf ans, qui vit seul avec sa mĂšre Elsa au second. Cette derniĂšre travaille dur pour subvenir Ă leurs besoins, et peut compter sur lâaide de ses voisins pour sâoccuper de son et lassĂ©e de cette vie routiniĂšre, Elsa rencontre Ădouard et pense trouver en lui un gentleman. Grand et au physique de dandy anglais, il se prĂ©sente comme un homme dâaffaires Ă succĂšs. Lorsquâelle comprend quâil ment, il est dĂ©jĂ trop tard Ădouard boit trop, la frappe et abuse dâelle. Elle ne rĂ©ussit pas Ă protĂ©ger Jules, qui se rĂ©veille la nuit et assiste rĂ©guliĂšrement Ă la violence de son amant. Mais par peur des reprĂ©sailles, Elsa insiste auprĂšs de son fils pour quâil se taise et ne raconte rien Ă leurs de son cĂŽtĂ©, est tombĂ©e sous le charme de Victor, l'entrepreneur bricoleur du premier. Voulant dĂ©passer ses peurs, elle entame avec lui une relation amoureuse. Mais quand il lui propose dâemmĂ©nager ensemble, la photographe panique et prĂ©fĂšre rompre. Le trentenaire dĂ©sespĂ©rĂ© se tourne vers Jean les rĂ©vĂ©lations de ce dernier sur le passĂ© de Rose lui permettent de comprendre et reprendre confiance pour leur de plus en plus imprĂ©visible, fait rĂ©gner la terreur au deuxiĂšme Ă©tage. Jules ne dort plus et sombre dans une profonde dĂ©pression. Mais Elsa continue Ă vouloir prĂ©server les apparences, laissant le petit garçon s'enfoncer dans le mensonge et trouver du rĂ©confort chez ses grands-parents de cĆur Francine et Michel, qui ne soupçonnent qu'elle travaille sur une sĂ©rie de photos prises quelques jours auparavant, Rose repĂšre un clichĂ© de Jules Ă sa fenĂȘtre. Le visage effrayĂ© de lâenfant lâinterpelle. En examinant lâimage de plus prĂšs, elle dĂ©couvre son calvaire. Ses propres souvenirs lâassaillent, mais au lieu dâĂȘtre paralysĂ©e par lâangoisse, elle rĂ©alise quâelle nâest sans doute pas arrivĂ©e lĂ par hasard et quâelle doit, pour ĂȘtre enfin en paix, surmonter ses peurs et sauver Elsa et Jules. DĂ©cidĂ©e, elle tape aux portes de ses voisins pour mettre au point un plan dâ bouleversĂ©e dâapprendre que le petit garçon lui cache la vĂ©ritĂ© depuis des mois et de nâavoir rien remarquĂ© de son malheur, avoue Ă ses amis avoir failli mourir sous les coups dâun harceleur de rue et ne devoir son salut quâĂ lâintervention de Michel. Victor et Rose se rapprochent pour le plus grand plaisir de Jean, rassurĂ© de voir sa protĂ©gĂ©e accepter le bonheur qui lui est offert. Une nuit, Rose est rĂ©veillĂ©e par un bruit sourd. Il est temps dâagir. Elle alerte ses voisins et tous se retrouvent devant la porte dâElsa, tandis que Jean prĂ©vient la police. Alors quâils insistent, Ădouard finit par ouvrir la porte, ivre et lui, le corps dâElsa inanimĂ©. Tandis que Victor et lâhomme se battent violemment, Rose, Francine et Michel se faufilent pour sauver la mĂšre et son fils, enfermĂ© dans sa chambre. Au loin, les sirĂšnes rĂ©sonnent dans la nuit. Rose se saisit dâune poĂȘle et lâabat sur la tĂȘte de lâagresseur. Quelques mois plus tard, Elsa arrive, soutenue par Jules et Michel, dans la brasserie de la rue. Au centre de la salle, est exposĂ©e la photo de Jules. Elsa rejoint Francine et Rose prĂšs du tableau. La presse est lĂ . Ensemble, elles ont créé une association dâaide aux victimes de violence et Ă leurs enfants La porte ouverte ».ChapitreAssise en tailleur, entre la table basse et son canapĂ©, Rose a posĂ© devant elle son ordinateur dans lequel elle a insĂ©rĂ© la carte mĂ©moire contenant les derniĂšres photos faites en compagnie de Jean. Elle observe dĂ©filer sur son Ă©cran les icĂŽnes qui sâenregistrent dans le disque dur interne de son pc. Elle est pressĂ©e de choisir les meilleurs clichĂ©s et sourit dâavance au travail dâombre et de lumiĂšre quâelle va faire pour sublimer les prises, les gestes volĂ©s, les regards capturĂ©s, les scĂšnes figĂ©es dans le temps. Patch est sagement couchĂ© au-dessus dâelle sur le sofa. Elle perçoit le souffle de lâanimal sur son cou et cette prĂ©sence fidĂšle la rassure, comme toujours. Elle veut sâempĂȘcher de penser Ă Victor quâelle a aperçu ce matin Ă la boulangerie. Il lui manque, mais elle ne se sent pas prĂȘte Ă lui parler, Ă lui raconter. Rose sâest persuadĂ©e quâil ne comprendrait pas. Parce que⊠Qui peut comprendre la blessure qui ne se refermera jamais, le creux laissĂ© dans son cĆur par lâabsence de sa mĂšre, par la violence de sa disparition, lâĂąme dĂ©truite par celui qui devait la protĂ©ger ? Elle-mĂȘme nây arrive toujours pas... Pourtant avec Victor, elle se sentait capable dâĂȘtre elle-mĂȘme, avec ses failles, ses zones dâombre, ses silences et ses cris de terreur. Elle avait voulu y croire, ils Ă©taient si amoureux lâun de lâautre. Mais on ne guĂ©rit pas en un jour, elle avait paniquĂ©, elle nâavait pas pu lui dire, lui expliquer. Elle avait prĂ©fĂ©rĂ© se refermer sur elle-mĂȘme, verrouiller Ă double tour la porte. CâĂ©tait plus raisonnable. Moins ordinateur lui indique par un bip quâil a fini dâenregistrer. Rose ouvre la bibliothĂšque dâimages et commence Ă les visionner rapidement. MĂȘme si elle est impatiente de se lancer dans lâĂ©talonnage, elle doit avant tout se reposer et ne pas veiller trop tard ce soir. La jeune femme a rendez-vous, le lendemain, avec un agent artistique pour lâaider Ă prĂ©parer sa premiĂšre exposition sur le thĂšme des portes fermĂ©es. Elle y travaille depuis de longs mois et ne se mĂ©nage pas pour dĂ©nicher les bons sujets et obtenir les droits dâexploitation afin de pouvoir commercialiser son art. Encore un dĂ©fi quâelle relĂšve, encore une Ă©tape vers la lumiĂšre, vers la paix intĂ©rieure quâelle rĂȘve un jour de ressentir. Devant ses yeux dĂ©file toute une sĂ©rie de prises de vues de son propre immeuble. Elle aime le capturer en toute saison et Ă toute heure. Cette ancienne maison bourgeoise a un pouvoir sur ses habitants. Chacun et chacune sâaccordent Ă le dire, lorsquâon emmĂ©nage ici, on dĂ©couvre plus quâun lieu, plus que des murs Ă dĂ©corer, on y trouve des Ăąmes solidaires, le partage, la fraternitĂ© et lâamitiĂ©. Ce que Rose cherche Ă immortaliser câest ce lien invisible qui relie ses voisins les uns aux autres, et le temps qui les rend essentiels dans sa vie. Elle, lâorpheline, se sent appartenir Ă un clan. Elle pouffe de rire, car au milieu dâune sĂ©rie dâĂ©preuves de balcons, elle a saisi le portrait de Jean, son ami du rez-de-chaussĂ©e.â Rose, tu es insupportable ! lui avait-il lancĂ© en mettant une main devant lui pour se protĂ©ger de lâ photo est magnifique, car derriĂšre le flou de cette main, se dessinent parfaitement les traits burinĂ©s de son visage hĂąlĂ© par le soleil de printemps. Il est beau, il est vrai et sincĂšre.â Merci mon Jean⊠murmure-t-elle pour elle-mĂȘme en caressant furtivement lâĂ©cran du bout des vieil homme lâavait accueillie lorsquâelle sâĂ©tait installĂ©e, il lâavait apprivoisĂ©e tandis quâelle nâĂ©tait encore quâune sauvageonne dĂ©barquĂ©e de nulle part. Il avait patiemment attendu que la confiance soit solide et quâelle lui raconte. Il sâĂ©tait glissĂ©, en douceur, dans la place dâun pĂšre, ce dont elle avait tant besoin. Et pour cela, elle ne pourrait jamais assez le images continuent de se succĂ©der, elle en zappe certaines, en sauvegarde dâautres pour plus tard, et ne sâattarde que sur celles qui ont une belle lumiĂšre quâaime Rose par-dessus tout câest cueillir, avec son objectif, des instants quâelle oublie et quâelle retrouve pendant ses sĂ©ances de tri. VoilĂ justement un clichĂ© de Jules, son adorable voisin du second. Son visage est collĂ© Ă la vitre. Ses cheveux noirs contrastent avec le blanc de sa peau diaphane. Ses yeux bleus dâordinaire si limpides semblent avoir plongĂ© dans lâobscuritĂ©. Un rayon de soleil lâentoure dâun halo et confĂšre au tout une atmosphĂšre irrĂ©elle. Mais le regard perdu et apeurĂ© de lâenfant interpelle la photographe, qui dĂ©taille maintenant avec la prĂ©cision dâun chirurgien tous les Ă©lĂ©ments secondaires de lâ elle voit flou. Elle peut distinguer les ombres, mais son cerveau refuse dâenregistrer lâinformation. Rose est comme prise dâun vertige, un froid glacial sâempare dâelle. Le temps de fermer les yeux pour chasser cette sensation persistante et des flashs du passĂ© ressurgissent. Dans le noir de ses paupiĂšres closes, elle aperçoit la main de son pĂšre qui sâabaisse avec brutalitĂ© sur la tempe de sa mĂšre attablĂ©e. Elle sursaute et ouvre grand ses iris. Son humeur gagne le chien qui se lĂšve et remue sur le canapĂ©, nerveux. Câest alors quâelle comprend. Devant Rose, un spectacle quâelle nâaurait jamais pensĂ© revoir, quâelle nâaurait jamais pensĂ© devoir de nouveau gauche de la chambre de Jules se trouvent le balcon et le salon. Dans le reflet des portes-fenĂȘtres, on distingue deux silhouettes. Celle dâun homme, que la photographe suppose ĂȘtre Ădouard, lâamant dâElsa, grand, le corps tendu, le bras en lâair et le poing fermĂ©. Ce que lâon peut apercevoir de son faciĂšs traduit la colĂšre, la haine et la rage. En suivant la trajectoire de ce bras menaçant, on devine une autre silhouette, plus fine, presque floue, lâenveloppe charnelle dâElsa recourbĂ©e sur elle-mĂȘme, comme si elle cherchait Ă disparaĂźtre et Ă se fondre dans le mur contre lequel elle est de cette image a pourtant la beautĂ© tragique dâun tableau, lâenfant Ă©clairĂ© par le soleil dont le visage nâest que peur et dĂ©tresse, et les ombres des corps adultes comme un cauchemar dont il ne peut se rĂ©veiller. Rose perd le contrĂŽle dâelle-mĂȘme, ses propres Ă©motions sâagrippant Ă celles de Jules, elle reconnaĂźt et fait sien chacun des sentiments qui se lisent sur les traits de son petit zoome jusquâĂ ce que le grain du clichĂ© soit grossier, comme la rĂ©miniscence des annĂ©es passĂ©es, elle doit voir le geste, la grimace de haine, la terreur dans la posture de la mĂšre. La jeune photographe a la gorge serrĂ©e, la peur au ventre, ce nĆud dont elle ne se souvient que trop bien et dont elle pensait sâĂȘtre dĂ©barrassĂ©e. Au-dessus du clavier, ses doigts tremblent tant quâelle doit reprendre plusieurs fois sa respiration pour Ă©viter une fausse Ă©tat dâanxiĂ©tĂ© a gagnĂ© Patch, qui tourne autour dâelle, affolĂ©, grognant et cherchant absolument Ă se faire remarquer de sa maĂźtresse qui elle-mĂȘme enchaĂźne les cent pas dans son salon. Ă chaque bruit, elle sursaute, sâarrĂȘte, glisse silencieusement, comme avant, vers la porte pour y coller son oreille, attendant un indice, guettant ce son qui la transportera au temps oĂč elle nâĂ©tait quâune gamine Ă petit, Rose reprend ses esprits, se souvient quâelle nâest plus, depuis trĂšs longtemps, soumise Ă la violence de son pĂšre. Mais la vĂ©ritĂ© nâen est que plus cruelle comme tous, comme les autres de son enfance, comme ces voisins qui, derriĂšre leurs portes, faisaient semblant de rien, elle non plus nâa rien vu, rien devinĂ©. Comment est-ce possible ?Elle se remĂ©more les moments partagĂ©s avec Jules, enfant sage et taiseux, trĂšs mature pour son Ăąge, mais dont elle a toujours supposĂ© que le caractĂšre discret fĂ»t dĂ» Ă sa situation familiale et Ă la nĂ©cessitĂ© dâElsa de travailler durement pour les nourrir tous les deux. En fermant les paupiĂšres, Rose revoit ces jours oĂč elle a croisĂ© la mĂšre cĂ©libataire dans les escaliers, des lunettes de soleil sur le nez alors quâil pleuvait, les sacs quâelle portait difficilement. Et la jeune femme rĂ©alise que mĂȘme si elle a dĂ©jĂ vĂ©cu ces drames, mĂȘme si elle peut rĂ©citer par cĆur toutes les excuses, les silences, les mensonges quâon dit pour faire passer un bras en Ă©charpe, le manque de sommeil dâavoir guettĂ© la fin de la bagarre, oui, mĂȘme si cette vie nâa aucun secret pour elle, Rose nâa rien vu. Rien, rien, rien. Elle a honte de sâĂȘtre laissĂ© berner par les apparences dont elle ne connaĂźt pourtant que trop bien le rĂ©sultat. Elle ne peut pas rester sans rien faire. En prenant ce clichĂ©, en immortalisant ainsi lâintimitĂ© de la famille, elle est entrĂ©e dans leur cauchemar. Et mieux que quiconque, la photographe sait que le mutisme de lâentourage est aussi douloureux et dĂ©vastateur que la claque, que le poing qui sâabat sur le visage, que le pied qui casse une oui. Mais aura-t-elle la force dâaffronter un autre dĂ©mon ? Le sien a dĂ©jĂ failli gagner. Il lui a arrachĂ© son enfance, sa mĂšre, il lui a volĂ© lâinnocence, les joies dâune flaque dâeau dans laquelle on saute avec lĂ©gĂšretĂ©, le plaisir dâune histoire du soir sans monstre cachĂ© dans le placard, la simplicitĂ© dâune nuit de sommeil sans hurlements. Il a mĂȘme failli lui prendre la Jules ? Elle ne peut pas lâabandonner. Plus les souvenirs remontent, menaçant de la noyer, plus elle confond la petite fille apeurĂ©e et solitaire quâelle Ă©tait avec le garçon de neuf ans qui vit un Ă©tage en dessous. Elle a tant priĂ© que quelquâun la sauveâŠEt si câĂ©tait elle qui devait ĂȘtre la sauveuse ? Et si câĂ©tait pour cela quâelle avait emmĂ©nagĂ© ici ? Et si pour guĂ©rir et trouver la paix, elle devait ĂȘtre celle qui vient en aide, qui ne laisse pas la porte se refermer ?Soudain, Rose sâarrĂȘte de marcher, elle aspire lâair Ă pleins poumons, elle secoue la tĂȘte, en prise avec les contradictions qui sont les siennes depuis longtemps. Oublier ou affronter. A ses pieds, son petit chien grogne, pleure. Quâarrive-t-il Ă sa maĂźtresse ? Tout devient limpide, et doit faire quelque chose, et tout de suite. Lâhistoire ne se rĂ©pĂ©tera pas. Elle dĂ©tient entre ses mains lâoccasion de la réécrire et dâen changer la fin. De sauver un enfant et sa mĂšre. Rose se saisit alors de son ordinateur, et suivie de son fidĂšle compagnon, sort de chez elle dâun pas dĂ©cidĂ©. Elle hĂ©site deux secondes sur la premiĂšre personne Ă aller voir. Puis elle dĂ©vale lâescalier et descend au premier. LâĂ©motion la submerge, car mĂȘme si sa dĂ©cision est prise, la bataille nâest pas facile. Elle sâarrĂȘte devant la porte, ravale le flot de larmes qui menace, et appuie sur la sonnette dâun geste sĂ»r.â Oui ! Jâarrive !Lorsquâelle entend la voix rassurante et toujours aimable de Francine, Rose sait quâelle a fait le bon choix. Avec lâaide des autres, ils vont pouvoir agir et le cauchemar dâElsa et Jules prendra tĂȘte poivre et sel, des yeux pĂ©tillants et un grand sourire lui ouvrent la porte.â Oh⊠Rose⊠Mais que tâarrive-t-il ? Entre !Sur le mĂȘme sujet
unjeune employé de banque qui s'abrite derriÚre un éternel sourire et décourage tous ceux qui cherchent à percer ses secrets ; un vieux négociant
Comment demander quelque chose poliment en anglais ? Et comment rĂ©pondre ? Nous allons dĂ©couvrir dans cet article quelques phrases utiles lorsque nous aurons besoin de demander un renseignement, un service etc. Nous verrons aussi quelques rĂ©ponses type et, pour terminer, la diffĂ©rence entre please et thank you. Les principales façons Voici les principales façons de demander quelque chose poliment en anglais Can youâŠ? Indiquant le chemin sur un plan Can we meet next Tuesday at Est-ce quâon peut se voir mardi prochain Ă 10h30 ? Could youâŠ? Could you tell me how to get to the station, please? Pourriez-vous me dire comment aller Ă la gare, sâil vous plaĂźt ? I was wondering if⊠I was wondering if you could help me. Je me demandais si vous pourriez mâaider. May IâŠ? May I help you? Puis-je vous aider ? Please⊠Please send me the supporting documents as soon as you can. Merci de mâenvoyer les justificatifs dĂšs que vous le pouvez. Would it be possibleâŠ? Would it be possible for you to come tomorrow morning? Vous serait-il possible de venir demain matin ? Would you mindâŠ? Would you mind closing the door behind you? Est-ce que cela vous dĂ©rangerait de fermer la porte derriĂšre vous ? Faisons attention Ă cette structure en anglais si la rĂ©ponse est positive par ex. Yes, actually I would., je ne fais pas ce qui mâest demandĂ©, alors que si la rĂ©ponse est nĂ©gative par ex. No, not at all., je vais le faire. Notons aussi que le verbe qui suit directement Would you mind prend systĂ©matiquement le gĂ©rondif -ing. Cliquez ici pour en savoir plus sur le gĂ©rondif. Un deuxiĂšme article sur le gĂ©rondif se trouve ici. Would you mind if we postpone our meeting? Est-ce que cela vous dĂ©rangerait si nous reportions notre rĂ©union ? Would youâŠ? Would you shut the door behind you on your way out? Vous voulez bien fermer la porte derriĂšre vous en sortant ? Et quelques exemples de rĂ©ponses possibles Yes, of course. Oui, bien sĂ»r. Yeah, sure. Ouais, bien sĂ»r. Iâd love to. Avec plaisir. Iâll think about it. Je vais y rĂ©flĂ©chir. Iâll have to check my diary. Il faudra que je vĂ©rifie mon emploi du temps. Iâm afraid I canât. Malheureusement, je ne peux pas. Maybe. Peut-ĂȘtre. No problem! Pas de problĂšme ! Perhaps. Peut-ĂȘtre. Quelques exemples Voici quelques courts Ă©changes en guise dâexemples Paul, could you hold the door open for me please? Paul, tu pourrais me tenir la porte, sâil te plaĂźt ? Yes, sure. Ouais, bien sĂ»r. Could we put the meeting back to next week? Est-ce quâon peut reporter la rĂ©union Ă la semaine prochaine ? Un homme qui porte un carton Iâm afraid I canât. Iâm on holiday next week. Malheureusement, je ne peux pas. Je suis en congĂ©s la semaine prochaine. Would you mind helping me carry the box? Est-ce que ça te dĂ©rangerait de mâaider Ă porter le carton ? Iâd rather not, I put my back out yesterday. Je ne prĂ©fĂšre pas, je me suis coincĂ© le dos hier. Bien sĂ»r, ce ne sont que des exemples si on me pose la question Could you âŠ?, je ne suis pas obligĂ© de dire Yes, sure. Je peux dire non si ce nâest pas possible. Please versus thank you Et pour terminer, rappelons-nous de la diffĂ©rence dâusage entre please et thank you. Cela va peut-ĂȘtre sembler Ă©vident, mais merci ne se dit pas toujours thank you en anglais⊠Please est utilisĂ© en anglais lors de la demande Could you bring me the bill check aux Etats-Unis, please? Pourriez-vous mâapporter lâaddition, sâil vous plaĂźt ? Please send me the contract before the end of the week. Merci de mâenvoyer le contrat avant la fin de la semaine. Thank you est la rĂ©ponse quand quelquâun fait quelque chose pour nous Here are the documents you wanted. Voici les documents que vous vouliez. Oh, thank you so much. Oh, merci beaucoup. Thank you for coming. Merci dâĂȘtre venu. Do you want a hand with that? Tu veux un coup de main avec ça ? No, Iâm fine, thanks. Non, ça va, merci. Cours d'anglais divers
Cartedu restaurant. Prix moyen 58 âŹ. Cabillaud, ragoĂ»t de lentilles, poitrine fumĂ©e. 28 âŹ. Canard du sud-ouest confit maison, pomme de terre en aioli. 28 âŹ. Petits farcis de lĂ©gumes provençaux aux saveurs de piment d'Espelette. 21 âŹ. Voir la carte et les menus.
Un jeune employĂ© de banque qui s'abrite derriĂšre un Ă©ternel sourire et dĂ©courage tous ceux qui cherchent Ă percer ses secrets ; un vieux nĂ©gociant en vins qui dort sur un trĂ©sor familial et semble planer hors du temps ; deux jeunes filles dans un cafĂ©, qui fĂȘtent un Ă©vĂ©nement Ă©nigmatique, une promesse fatale dont elles ne pourront plus jamais se dĂ©faire ; maĂŻ-yann qui contemple la prairie qui descend vers l'odet. Tous ces personnages semblent coupĂ©s d'un monde qui les ignore. ils dĂ©rivent dans leurs univers intĂ©rieurs. Six personnages, six destins, six nouvelles Ă la fois dĂ©sabusĂ©es et optimistes.
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